Quelques mots sur notre arrivée...
Avant de parler de notre arrivée a proprement parle, il est bon de revenir sur notre voyage Paris Los Angeles.
Tout d’abord, l’enregistrement. Nous avons enregistré en tout 130 kg de bagages, soit un peu plus que la moyenne. Ensuite, il a fallu que l’on vide devant tout le monde une de nos valises, trop lourdes et risquant donc de ne pas être chargée. Nous voici donc devant une queue interminable à devoir enlever tout et n’importe quoi de notre valise : du lait de Martin, des livres, des draps… Bref, autant dire que nous n’avions pas l’air de grand chose J mais peu importait, ils acceptaient de tout enregistrer.
Grande nouvelle au moment d’embarquer, nous sommes surclassés, a nous la classe business, a nous les repas chauds servis sur nappe, a nous les sièges qui s’inclinent a 180 degrés, a nous le champagne et les noix de cajou Fauchon qui prennent la place, et ce pour notre plus grand bonheur les petits crackers sales.
Une fois dans l’avion nous avons 2 petites surprises : la première, nous faisons fuir notre voisin qui semble ne pas trop apprécier la compagnie d’un bébé, et la deuxième, nous partons avec près de 3 heures de retard.
Le voyage de Martin se passe plutôt très bien, bien qu’il soit bon d’être 2 pour se relayer, les 11 heures de vol passent et nous voici arrives a L.A.X.
Je pense qu’il aurait été bon de nous filmer a ce moment-là…Martin nous aide à passer la douane sans aucun problème, le « baby so cute » nous donne accès à un sourire du douanier, ce qui, pour ceux qui connaissent n’est pas chose aisée. C’est simplement ensuite que commencent les choses folklo, nous sommes avec 2 chariots remplis de valises, la poussette, le maxi cosy, et Martin qui, heureusement pour nous, est tout stone et reste tranquille dans sa poussette. Après être sorti de l’aéroport non sans mal, nous découvrons ce grand ciel bleu californien, et rejoignons enfin notre voiture de location, grand 4x4 a l’avant duquel Ced et moi avons l’air de minipouce, mais c’est pas grave, on est arrivé, on a tous nos bagages, et on est tous les 3 !